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23 novembre 2022 3 23 /11 /novembre /2022 18:12
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19 juin 2022 7 19 /06 /juin /2022 18:36

 

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12 juin 2022 7 12 /06 /juin /2022 19:08

 

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29 mai 2022 7 29 /05 /mai /2022 17:26

François GEMENNE est chercheur à l’Université de Liège, professeur à l’Institut Politique de Paris.

Nous sommes dans une nouvelle ère géologique : l’Anthropocène

L’Anthropocène est une nouvelle période géologique dans laquelle nous sommes, caractérisée par le fait que l’homme est devenu la principale force de transformation de la planète. C’est la période  géologique des humains avec toutes les composantes de la crise écologique que nous connaissons et qui, malheureusement, est une transformation durable de la planète avec la trace ou l’empreinte durable que nous laissons notamment pour le climat.

Ayant transformé le climat pour des centaines d’années, il ne faut pas s’imaginer que nous pourrions retrouver le climat qui existait il y a 20 ou 30 ans.

La concentration atmosphérique des GES (Gaz à effet de serre) s’accélère : 280 ppm pendant des dizaines de milliers d’années – 337 ppm en 1981 – 420 ppm en 2020. L’enjeu est d’apprendre à freiner cette concentration des GES.

Pourquoi n’arrivons-nous pas à lutter efficacement contre le réchauffement climatique ?

La faiblesse de l’accord international de Paris (COP 21) est qu’il n’est pas contraignant au niveau de l’objectif de réduction des émissions : c’est une politique de promesses avec un manque d’actions. En additionnant les engagements nationaux des différents pays par rapport à l’objectif déclaré de l’accord de Paris à +1,5°C à +2°C, le compte n’y est pas. L’ONU dit même qu’en respectant les engagements gouvernementaux, on atteindrait quand même +2,7°C. Il va donc falloir revoir ces engagements à la hausse et surtout les respecter.

En restant sur la trajectoire actuelle, nous nous dirigeons vers un scénario à +4°C avec des impacts décuplés du changement climatique : Multiplication par 3 ou 4 des feux de forêts – Précipitations intenses et épisodes d’inondations multipliées par un facteur de 2 à 3 -  Dégradations des sols de plusieurs régions du monde notamment en Afrique subsaharienne où l’agriculture de subsistance est pratiquée par 1 famille sur 2.

Comment faire face à l’irréversible ?

Il faut d’abord accepter le fait qu’il n’y aura pas de retour en arrière. Le changement climatique n’est pas une crise mais un changement irréversible. Il faut donc prendre conscience de la vulnérabilité humaine face aux évènements climatiques extrêmes.

25 entreprises dans le monde sont responsables de 50% des GES et les actions individuelles qui représentent 25 à 40% des GES sont nécessaires mais pas suffisantes sans leviers d’actions collectives. Le défi c’est mettre nos choix individuels en adéquation avec les choix collectifs. Le levier du financement est un facteur essentiel pour cela : diminuer et tendre vers 0 les subventions publiques aux énergies fossiles pour rendre concurrentielles les énergies renouvelables.

L’environnement est un tout. Ce n’est pas seulement s’occuper de la faune et de la flore. Il faut mener une politique sociale sur les questions écologiques pour éviter des injustices profondes comme celles qui ont déclenché la crise des Gilets jaunes.

Qu’est ce que l’écologie radicale ?

L’écologie radicale n’est pas une écologie qui interdit tout comme prendre l’avion. L’écologie radicale redéfinit les choix de société et indique que le modèle actuel d’organisation économique n’est pas durable car il se heurte aux limites physiques de la planète (cf. le jour du dépassement atteint de plus en plus tôt dans l’année).

Les personnes qui ont des leviers d’action appartiennent en général aux couches aisées de la population qui sont également les plus responsables du problème climatique. Plus de la moitié des GES proviennent des 10% de la population les plus riches et qui ne sont pas les premiers touchés. On a parfois l’impression que les impacts du changement climatique seront pour les autres et/ou pour les générations futures. Il faut aussi prendre conscience que les populations pauvres  risquent d’être défavorisées par les mesures de lutte contre le changement climatique : les technologies de riches sont inaccessibles aux plus défavorisés. Nous devons réagir en tant qu’Humanité entière et pas chacun séparément sinon le risque est d’aboutir dans des logiques surréalistes où chacun va chercher  à se protéger, lui et les siens.

Faire Humanité, c’est donc l’enjeu essentiel de l’Anthropocène et c’est la seule manière de gouverner l’irréversible.

La vidéo :

François Gemenne : "Une écologie radicale c'est une écologie qui redéfinit les choix de société" - Bing video

 

                                                                                                                                                Cocqueel.jeanpaul@bbox.fr

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24 avril 2022 7 24 /04 /avril /2022 19:57

 

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11 avril 2022 1 11 /04 /avril /2022 11:00

 

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10 avril 2022 7 10 /04 /avril /2022 20:19

 

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8 avril 2022 5 08 /04 /avril /2022 20:04

Interview de Philippe VAL

Ce matin, on va parler de l’abstention. Il faut bien parler politique à 48 heures du 1er tour de l’Élection présidentielle (10/04/2022). Mais le temps de parole oblige et on n’a plus du tout le droit de parler des candidats.

Tant mieux peut-être. Au temps de ma jeunesse folle, comme beaucoup d’autres, j’avais été convaincu par Sartres de ne pas voter. Et je ne suis pas prêt de pardonner à cette grande intelligence de nous avoir rendus stupides.

Abstention, piège à cons.

C’était son slogan. Aujourd’hui, j’ai un copain abstentionniste. Et en l’écoutant argumenter, j’ai compris qu’à lui tout seul, il se croit plus intelligent que tous les candidats réunis. Il me dit « tous pourris » ; et je lui réponds souvent « quand on parle des autres, on parle de soi ». Alors il se vexe et je change de sujet.

Comment vous vous y prenez avec votre ami abstentionniste pour tenter de le convaincre d’aller voter ?

Je lui dis qu’en 1956, quand les Hongrois se sont révoltés contre la dictature communiste, ils ont été écrasés par les chars russes. Que voulaient-ils ? Une démocratie pluraliste et des élections libres.

En 1968, quand les Tchécoslovaques se sont soulevés contre la dictature communiste, ils ont été écrasés par les chars soviétiques. Que voulaient-ils ? Une démocratie pluraliste et des élections libres.

En juin 1989, le parti communiste chinois a assassiné et réprimé implacablement la jeunesse rassemblée place « Tien an men ». Que voulaient ces manifestants ? Une démocratie pluraliste et des élections libres.

Entre 1939 et 1945, environ 60 millions de personnes sont mortes à la guerre. C’était le prix à payer pour vaincre le nazisme et pour établir des démocraties pluralistes et des élections libres.

Aujourd’hui, quand on regarde à la télé des images de l’Ukraine, on voit « en direct » les troupes russes qui tentent d’exterminer une population qui se bat pour défendre un régime démocratique, pluraliste et des élections libres. Et à la veille du 1er tour de l’Élection présidentielle, que se passe t-il en France, libre, démocratique et pluraliste ?

Il se passe que les études d’opinion nous parviennent et que l’abstention au 1er tour pourrait osciller entre 25 et 30%. Et que ce sera peut-être encore plus au second tour.

Alors moi je fais un cauchemar : Je m’imagine trébuchant à travers les cimetières hongrois, tchécoslovaques, chinois et ukrainiens et occupé à me dire qu’on est en train de passer de la liberté qui est dans le peuple à l’indifférence guidant des enfants gâtés.

Est-ce que vous entendez l’argument « Je ne vois personne pour me représenter » ?

Oui, mais on a juste oublié que voter c’est le geste altruiste qui coûte le moins et rapporte le plus. On ne vote pas pour soi, on vote pour les autres. Et l’offre pluraliste est, quoi qu’on en dise, à l’image de notre pays. Les candidats n’arrivent pas de la planète Mars. Ils sont ce que nous sommes et il y en a pour tous les goûts. On a 2 trotskistes, l’une qui est laïque et l’autre qui s’en fout du moment que ça saigne. On a des souverainistes « au lait cru » ; des écologistes végans ; des communistes carnivores ; des insoumis « islamo-compatibles » ; des socialistes convaincus que l’Élection présidentielle c’est la rencontre d’une femme avec une piste cyclable ; une droite nucléaire ; un centre européen ; 2 extrêmes droite « au ras des narines ».

Mais qu’est-ce qu’il nous faut de plus ? Un Messie qui marche sur l’eau ? On vote toujours par défaut pour quelque chose d’impure et d’imparfait. Et c’est çà qui est formidable parce que la pureté, c’est la mort. Sommes-nous parfaits ? Non. A-t-on envie de devenir des êtres parfaits ? Evidemment, non. On a envie de vivre avec le droit à l’erreur et le droit au bonheur.

Avez-vous un conseil à nous donner pour déterminer pour qui voter ?

Oui. Il faut voter pour les gens comme nous, avec leurs défauts, leurs qualités, leurs faiblesses. En politique, les Messies s’appellent Hitler ou Staline. Les élus de la démocratie s’appellent Mario Draghi, Olaf Scholz ou Ignazio Cassis que personne ne connait, pourtant c’est le président de la  Confédération suisse où règne la paix depuis 2 siècles.

Tous les soirs, quand les images d’Ukraine arrivent sur nos écrans de télé, on zappe sur Gulli pour que nos enfants ne voient pas çà. Si on réfléchissait 5 minutes au lieu de se croire plus intelligent que les autres, dimanche prochain, on se précipiterait au bureau de vote pour que nos enfants ne vivent pas çà.

Merci beaucoup Philippe : Plaidoyer pour voter dimanche et dés demain aux Antilles et en Polynésie française. Bonne semaine à vous.

Replay : Philippe Val tente de convaincre son ami abstentionniste (europe1.fr)

                                                                                                                             CR cocqueel.jeanpaul@bbox.fr

 

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20 mars 2022 7 20 /03 /mars /2022 19:55

Un rappel à tous nos auditeurs, la démocratie çà coûte cher ?

Oui, chacun en conviendra. Dormir au Formule 1 dans la zone industrielle de Roubaix ne peut se comparer avec une nuit au Danieli (Hôtel de luxe 5 étoiles), le légendaire palace vénitien à 2 pas de la place Saint-Marc. Au Formule 1 quand on s’éveille pour avoir une boisson chaude, noire et amère, il faut glisser sa carte de crédit dans un monnayeur qui ne peut pas lutter avec le maître d’hôtel du Danieli qui apporte votre expresso italien, ouvre les rideaux, vous fait couler un bain. C’est la raison pour laquelle, si j’étais candidat à la Présidence de la République, mon programme serait simple. Avec moi, plus personne au Formule 1, tout le monde au Danieli. Faites le choix du luxe ! Abats la fenêtre qui donne sur La Halle aux Chaussures. Vive la vue sur le Grand Canal.

Vous plaisantez. Tout le monde n’a pas les moyens. Ce n’est pas sérieux Philippe ?

C’est très sérieux au contraire. Je suis tout ce qu’il y a de plus sérieux. A l’époque, j’étais reporter de presse : après avoir séjourné en Chine, dans un pays de l’Est, dans un pays africain où régnait un dictateur sanguinaire avec des lunettes noires, ou dans un pays où il fallait choisir entre la peur des islamistes et la peur des militaires, ou la Turquie où mes confrères journalistes tremblaient pour leurs familles lisant leurs articles. Lorsque je rentrais en Europe, vous avez l’impression d’arriver dans un hôtel de luxe. Chaque fois, j’ai mesuré combien étaient précieuses nos institutions protectrices auxquelles nous sommes tellement habitués que nous croyons qu’elles sont normales et naturelles. Or, c’est le contraire. Elles sont exceptionnelles et culturelles.

En gros, vous comparez la planète à un parc hôtelier ?

Exactement. Et si la planète est un parc hôtelier, l’Europe de l’Ouest est le Danieli du monde. Tout n’y est pas rose, loin de là. Mais, comparé au reste de la planète, nous vivons dans un palace.  En temps de paix, ce luxe de liberté et de sécurité coûte très cher. Il n’est pas parfait. Il n’est pas exsangue d’injustices sociales que les combats politiques ont l’ambition légitime de corriger. Mais lorsque c’est la guerre, ce luxe de liberté et de sécurité se met à coûter encore beaucoup plus cher. Chacun le comprend plus ou moins obscurément. C’est une guerre très longue qui commence. La planète est d’ores et déjà séparée en 2 axes qui sont 2 visions du monde incompatibles. D’un côté, les régimes autoritaires qui ne dépensent pas 1 centime pour la sécurité et la liberté de leurs populations, mais investissent pour réprimer dedans et menacer dehors. De l’autre côté, les démocraties pluralistes et les institutions protectrices des libertés coûtent une fortune. La guerre en Ukraine, quelle que soit son issue, n’est que le 1er acte d’une guerre de civilisation entre l’axe des régimes autoritaires ou idéologiques et celui des régimes libéraux et laïcs. Bien que la démographie fasse pencher la balance du mauvais côté, il faut parier que la liberté finira par l’emporter et que le désir de bonheur et d’insouciance l’emportera sur les tyrannies. Mais d’ici là, ne doutons pas que nous aurons à faire de nombreux sacrifices.

Si je vous ai bien compris, l’époque où les lycéens défilaient dans les rues pour la retraite à 60 ans, c’est une époque révolue ?

Oui, c’est révolu. Nous sommes condamnés à prendre conscience que si on veut continuer à vivre dans le palace des droits humains et de la liberté d’expression, il va falloir provisoirement baisser le chauffage et économiser l’eau chaude. C’est pourquoi en France, il y a quelque chose d’obscène dans certains discours politiques et syndicaux qui s’insurgent contre le coût social des sanctions contre la Russie. Quand Poutine éventre les villes ukrainiennes sous le regard complaisant de Xi Jinping, consentir à une baisse de pouvoir d’achat pour sauver les 27 étoiles de notre résidence, n’est-ce pas la moindre des choses ?

Effectivement, la question se pose. Merci beaucoup Philippe.

 

https://www.europe1.fr/emissions/L-interview-de-7h40

                                                                                                                             CR cocqueel.jeanpaul@bbox.fr

 

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5 mars 2022 6 05 /03 /mars /2022 21:23

 

La défense européenne revient à la mode depuis une semaine.

Avec l’armée européenne, nous avons posé les fondations sur lesquelles nous pourrons construire les Etats-Unis d’Europe, libres, rigoureux et prospères. C’est peut-être la phrase que l’on pourra entendre à l’issue du sommet de Versailles des 10 et 11 mars prochains qui sera consacré à la défense européenne.

Pourtant, cette phrase a été prononcée en 1952 à Washington par Jean Monet. Tout était en place pour que l’Europe Occidentale, convertie à la paix et à la démocratie, se dote d’une puissance qui garantisse sa sécurité. Le vote de la France qui était décisif devait intervenir 2 ans plus tard. 70 ans après, il ne s’est toujours rien passé. Le projet a mystérieusement capoté.

Que s’est-il bien passé ?

La guerre en Ukraine qui fait trembler l’Europe n’est que la suite logique et dramatique de ce qui s’est produit en 1954. Après la défaite de Diên Biên Phu, Pierre Mendès France est élu Président du Conseil sur la promesse de sortir la France de la guerre d’Indochine. Pendant les négociations de Genève,  Phạm Văn Đồng, le représentant d’Hô Chi Minh, exige de Mendès France de laisser les communistes envahir le sud Vietnam ce qui présage un massacre. Phạm Văn Đồng est en position de force, et dans la négociation, il est puissamment appuyé par la Russie soviétique représentée par le général Molotov. Dans « Apocalypse, la guerre des mondes », le passionnant documentaire de Daniel Costelle et Isabelle Clarke, on découvre avec stupéfaction que, secrètement,  le général Molotov propose alors un pacte à Pierre Mendès France.

Qu’a-t-il murmuré le général Molotov à l’oreille de Pierre Mendès France ?

Le général Molotov lui a dit ceci : « Nous sommes prêts à convaincre les vietnamiens d’accepter l’autonomie du Sud à la condition que vous fassiez échouer le projet de défense européenne ».  Acculé, Mendès finit par accepter. Il a obtenu le vote qui a envoyé la Communauté européenne de défense aux oubliettes grâce, évidemment, aux idiots utiles du Parti Communiste français et d’une partie de la droite dont le Rassemblement National, J-L Mélenchon et E. Zemmour sont les modernes héritiers. C’était un marché de dupes comme d’habitude avec le pouvoir soviétique. On connait la suite, une guerre interminable où se sont embourbés les Américains après le retrait de la France. Les tyrans qui gouvernent la Russie depuis 1917 ont toujours la même obsession. Ils sont terrifiés par la contagion aux marches de l’Empire d’une Europe forte, régie par des constitutions démocratiques où LA PRESSE est libre et où on peut critiquer le Président de la République sans disparaître pendant 20 ans en Sibérie. C’est pourquoi Poutine est terrifié par l’exemple ukrainien. Les Soviétiques ont fait capoter l’Europe en 1954 ; et c’est exactement pour la même raison que Poutine vient d’envahir l’Ukraine.

Dans le cas présent, Poutine obtient exactement l’inverse car l’Europe est unie comme jamais elle l’a été pendant 70 ans.

Oui. Néanmoins entre septembre 1954 et février 2022, notre aveuglement a été constant. Les postures souverainistes et anti-américaines ont paradoxalement mis l’Europe sous la dépendance unique de l’OTAN. Et comme si cela ne suffisait pas, il s’est trouvé des visionnaires politiques pour militer pendant des décennies et jusqu’à la semaine dernière, à la fois contre l’Union Européenne et en faveur d’une sortie de l’OTAN. Si on les avait écoutés, les chars de Poutine pourraient défiler Place de La Concorde sans que personne ne nous vienne en aide.

Fort heureusement, on en n’est pas là.

Certes, mais depuis des siècles, la Russie est tiraillée entre 2 pôles politiques : Celui d’Ivan Le Terrible qui rêve de raser les villes et de planter des yourtes sur les décombres de l’Occident ; et celui de Pierre Legrand qui invite les architectes italiens à bâtir Saint-Pétersbourg. La même histoire se répète. C’est la Russie de Dostoïevski contre la Russie de  Tchekhov. C’est toute la difficulté que rencontre le Président de La République française. Pour lui, le téléphone est une machine à sauver l’avenir. Pour Poutine, c’est une machine à remonter le temps. Comme tout le monde, Poutine est mortel et le temps irrémédiable finit toujours par jouer en faveur de l’avenir. Mais, c’est au prix exorbitant du bruit et de la fureur que nous sommes en train d’assister à la naissance d’un patriotisme européen que l’on n’attendait plus.

https://www.europe1.fr/emissions/L-interview-de-7h40/ukraine-la-naissance-dun-patriotisme-europeen-que-lon-nattendait-plus-4097309

                                                                                                                                CR cocqueel.jeanpaul@bbox.fr

 

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